En ce dernier trimestre 2021, nous sommes partis à la rencontre d’un père et de ses deux fils, entre Genève, Londres et New York. Trois personnalités hors du commun, trois parcours de vie captivants aux quatre coins du globe. Tous ont en commun ce formidable appétit d’une vie riche, entre des jobs passionnants, une vie de famille épanouissante et un attrait marqué pour les voyages. Tous sont aussi assurés chez OPAL, un produit qui répond parfaitement à leurs attentes en tant qu’expatriés pour les fils et voyageurs aguerris pour les parents. Car si Pedro Simko, le père, vit actuellement en Suisse, l’étranger a toujours été en filigrane, que ce soit pour le travail ou le plaisir. C’est lui que nous avons rencontré en premier, l’occasion d’échanger sur la notion de “couverture santé” à plus de 60 ans, et sur comment concilier vie à cent à l’heure et gestion des risques.
Basé en Suisse, vous voyagez fréquemment. Est-ce cela qui a été le levier décisionnel pour commencer à vous intéresser à une assurance internationale comme OPAL ?
Au tout début, oui. Lorsque nous avons commencé à regarder avec ma femme pour des assurances pouvant nous couvrir partout, aux mêmes conditions que celles de notre pays d’origine, c’est OPAL qui nous est apparue être la meilleure option.
Et j’insiste sur cette notion de couverture globale, car non seulement nous sommes de grands voyageurs, mais en plus nos enfants vivent à l’étranger, l’un au Royaume-Uni et l’autre aux Etats-Unis, nous offrant la quasi-certitude de séjours là-bas plusieurs fois par année.
Y a-t-il d’autres facteurs que cet aspect de couverture globale qui ont influencé votre choix ?
Oui, et je commencerais par l’absence de franchise, un point fondamental. Vous l’avez dit en introduction, nous vivons avec ma femme une vie très remplie, nous sommes extrêmement dynamiques, et nous sommes aussi en très bonne santé. En dix ans, je n’ai eu qu’un seul ennui de santé, et mon épouse aucun. Nous ne sommes donc pas des clients “à risque” pour les assurances, et pour la première fois nous pouvons sortir de cette sorte de calcul sur un risque prévisionnel de “oui mais, s’il m’arrive quelque chose, je devrais prendre une franchise plus basse” ou l’inverse.
Ensuite, la facilité m’a également séduit. Ici, tout se fait à travers l’application OPAL. C’est un outil efficace, rapide et extrêmement simple à comprendre. On prend une photo de ses frais, on envoie, et on attend le remboursement. That’s it !
Enfin, et c’est un aspect tout aussi primordial, j’ai été séduit par la perception de ce qu’est une prise en charge médicale. Ce n’est pas uniquement une couverture santé “activable” une fois que le problème de santé est là, mais déjà en prévention. Par exemple, ma femme qui est très portée sur les médecines dites alternatives voit ses frais médicaux dans ce domaine être désormais remboursés.
Pour moi, une assurance maladie qui encourage la prévention est une bonne assurance maladie !
Justement, au sujet de la prise en charge à proprement parler, quel est votre bilan de ces mois de souscription à OPAL ?
Extrêmement positif là encore. Je qualifierais la prise en charge de très fair dans la mesure où les potentielles zones grises liées à certains traitements – que d’autres assurances pourraient pointer du doigt – ne sont pas présentes ici. Je m’explique : parfois, certaines factures suscitent des interrogations, mais avec OPAL et les conseillers disponibles 24 heures sur 24 la réponse arrive tout de suite, et elle est très souvent positive.
OPAL est une structure qui soutient et renforce le service, et c’est ça qui me plaît.
Prochain épisode : Simko fils, le choix d’OPAL en tant qu’expatrié résidant à Londres.