Émigrer, s’expatrier, dans le monde globalisé d’aujourd’hui ces deux tendances sociétales sont devenues légion. Plus qu’une tendance, on peut même parler de véritable phénomène tant les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon l’étude annuelle Expat Insider, le nombre d’expatriés dans le monde est aujourd’hui estimé à environ 56-57 millions, dont 56 % de femmes et 44 % d’hommes. En Suisse aussi l’émigration est aussi une tendance, avec des chiffres chaque année en hausse et une diaspora suisse qui atteint 760’200 personnes en 2018.
Et, fait intéressant, l’étude nous apprend que “au niveau mondial, au moment de boucler leurs valises pour partir, un tiers des expatriés imaginent que c’est “pour la vie, si possible”. (…) Ainsi, les missions courtes sont rares (5% seulement partent moins d’un an). Au niveau mondial, 65% des expatriés partent en couple et 35% en solo. Ils sont aussi 26% à changer de pays alors qu’ils ont encore des enfants à charge.” C’est précisément ce point que nous aimerions aborder ici, celui d’expatriés partis en famille pour plusieurs années. Pour le meilleur, en s’évitant le plus possible les écueils d’une vie parfois très différente de celle de son pays d’origine. Une des solutions réside dans la préservation de certains « acquis » qui agiront comme autant de coques protectrices et rassurantes tout au long de cette magnifique aventure ! Explication ci-dessous.
Si l’ailleurs a le vent en poupe, il y a souvent un pas entre « rêver » et décider de passer le cap. Or voilà que dans nombre de cas, ce cap, ce n’est pas vous qui décidez de le franchir, mais votre employeur via une proposition (souvent déjà actée) d’une délocalisation de votre poste de travail à l’étranger. Bien sûr, mari/femme et enfants sont compris dans l’équation.
Passé le choc, la raison (re)prend vite le dessus, vous intimant de PLANIFIER, PREVOIR, cette nouvelle vie en amont afin d’y atterrir en douceur, sans dommages collatéraux. Tout le pan administratif s’enclenche alors, et avec lui la question – primordiale – de la couverture santé. Car si vous êtes couvert-e par votre employeur, qu’en est-il de votre famille ? Et pour vous-mêmes, d’adviendra-t-il le jour où vous êtes licencié-e ou décidez de changer de poste au sein de ce pays d’accueil ? Opter pour une assurance locale souvent soit trop coûteuse, soit offrant une prise en charge bien en deçà de celle de votre pays de résidence, voire les deux ? Pourquoi devrait-on renoncer à certaines certitudes/habitudes de son pays de résidence ?
Cette « charge mentale », bien des expatriés la vivent en amont et/ou pendant leur séjour. Et pourtant, elle peut être évitée !
Pour nous, la solution réside dans le choix d’une seule et même assurance pour vous et vos proches, pensée pour vous suivre tout au long de votre parcours de vie grâce à sa couverture mondiale et vous offrant la garantie d’une prise en charge totale, quel que soit votre problème, votre pays d’expatriation/de résidence ou vos antécédents médicaux. Avec OPAL, tout est couvert (y compris ophtalmologie, dentiste …), sans aucune franchise dans un seul et même package, pour vous, votre mari/femme, vos enfants.
Parce que renoncer aux acquis ne devraient pas faire partie de l’équation, ni mettre en péril ce nouveau chemin de vie en vous obligeant, dans le pire des cas, à rentrer faute d’avoir opté pour une bonne couverture.