Voilà aujourd’hui 10 années que Laura vit à Londres avec sa famille. 10 années d’expatriation, de découverte et de familiarisation avec une nouvelle culture. Et dans tout récit d’expatriation, le discours est toujours dual. D’un côté, une formidable opportunité de sortir de sa zone de confort, sur bien des plans. De l’autre, un renoncement à certains « acquis » bien difficile à accepter.
Mais de l’avis de Laura, un nouvel équilibre peut être trouver, et vite. Reste à bien connaitre les options ouvertes, et à faire les bons choix. Et s’il y a un bien un point sur lequel elle ne souhaitait pas se tromper, c’est celui de la santé. Comment s’y est-elle prise pour choisir une couverture répondant à ses critères d’exigence, pour elle et pour ses proches ? Par quel biais s’est-elle renseignée sur les options en vigueur ? Est-elle aujourd’hui satisfaite de son choix ?
Récit d’une expatriation réussie, en toute franchise.
Voilà plusieurs années que vous vivez à Londres. Comment vous y êtes-vous prise pour faire votre choix d’assurance santé ?
À Londres, plusieurs choix s’offraient à moi. Premièrement : je pouvais opter pour la NHS (National Health Service) qui prend en charge tout le monde, en public, en couvrant des frais médicaux minimes ou gratuits. Je pouvais aussi souscrire à une assurance privée nationale qui donne accès aux cabinets médicaux, cliniques et hôpitaux privé-e-s. Bémol cependant : celle-ci ne couvre pas la maternité. Enfin, je pouvais partir sur une assurance internationale (de type Opal) qui couvre en privé et partout dans le monde.
Habituée à la qualité des soins en Suisse, je souhaitais dans le meilleur des cas retrouver un niveau similaire, à un prix le plus possible aligné. J’ai dans un premier temps souscrit à une assurance d’un grand groupe suisse, avant de la résilier car elle ne couvrait pas mon deuxième enfant né en dehors de la Suisse. Il m’a donc fallu trouver un autre prestataire, et vite. Autre exigence, je souhaitais avoir toute la famille assurée sous un même « package » afin de me faciliter au plus possible la vie et pouvoir être couverte à l’échelle internationale car, lié à notre statut d’expatriés, nous voyageons beaucoup (pour revoir nos proches, pour le travail etc.).
Et c’est là que j’ai entendu parler d’Opal par d’autres expatriés suisses vivant à Londres. Il faut savoir que lorsque l’on est expatrié, la manière de se renseigner qui prévaut est celle du bouche-à-oreille auprès de d’autres « membres » de ce cercle restreint. La confiance joue beaucoup dans notre prise de décision. Donc constater que d’autres personnes vivant la même chose que nous avaient été convaincus par le produit a suffi de me convaincre. CQFD.
Qu’a fait concrètement Opal pour vous durant toutes ces années ?
La première chose, et pas des moindres, a été de nous couvrir tous (moi, mon mari et nos deux filles), sous un seul et même contrat, avec les mêmes conditions. Il faut savoir que les conditions d’Opal se résument en une page, il est donc très facile de comprendre jusqu’où l’assurance peut nous couvrir. Lorsque ma fille a été hospitalisée et opérée suite à la découverte d’une malformation crânienne, cela a pu se faire dans les meilleures conditions possibles, en privé, et entièrement pris en charge, le tout grâce à notre couverture Opal.
La deuxième chose a été de nous offrir une qualité de soins identique à celle que l’on avait l’habitude d’avoir en Suisse, à un prix très compétitif. Nous sommes soignés dans le privé, avec le libre choix du médecin et une couverture qui comprend des prestations de santé comme le dentiste, l’ophtalmologie ou encore l’ostéopathie, avec des plafonds clairement définis, sans avoir besoin de passer par le médecin généraliste.
La troisième chose est la qualité et la rapidité du remboursement. Tout ce qui est compris est remboursé à 100%, dans un délai d’une semaine environ ! Même en Suisse, on n’est pas aussi rapides ! Il suffit de scanner dans l’application sa facture, d’envoyer le tout, et le tour est joué.
En tant que mère de famille, est-ce que cela a fait davantage pencher la balance du côté d’Opal ?
Oui, sans aucun doute. Quand vous avez une assurance qui prend en charge votre grossesse, puis votre accouchement en privé, ainsi que les opérations compliquées de type de celle de ma fille évoquée plus haut, cela n’a pas de prix. Le suivi en temps réel avec la possibilité de joindre un conseiller 24h/24h a également été un point crucial dans une période de chamboulements importants, avec un déménagement à l’étranger et un enfant qui arrive dans le même temps. On a besoin d’avoir des réponses lorsque l’on arrive dans un pays inconnu, et la santé est bien trop importante pour se contenter de qu’en-dira-t-on, d’idées reçues, voire de « fake news ».
Quid de votre assurance si vous déménagez à nouveau ?
Opal me suit, aux mêmes conditions que celles prévalant en UK. On peut donc dire que je n’ai plus à me soucier de mon assurance santé pour les 20 prochaines années… voire plus ! Une « charge mentale » en moins, plus que bienvenue dans nos quotidiens d’expatriés ô combien mouvementés !